lundi 18 mai 2020

La chambre effondrée (18/05/2020)

La chambre effondrée (18/05/2020)


Je suis dans une ville moderne et ensoleillée, dont l'architecture me fait penser à certains quartier de M., ma ville natale dans le sud de la France, mais aussi à des bâtiments de pays plus exotiques... comme Dubaï ? Je suis censé passer vacances chez B., un ancien ami que je n'ai pas revu depuis le collège. Dans ce rêve, il habite une résidence luxueuse située une sorte de gratte-ciel de couleur ocre. J'arrive dans la résidence, mais il n'y a personne. Je défais mes affaires et je me rends compte qu'il manque quelque chose : certains vêtements, un ordinateur portable... Cela devrait me gêner, mais en réalité, ça m'est complètement égal. Je suis l'Artiste Nonchalant. J'explore un peu la suite, qui est immense et formidablement bien équipée. Lorsque je reviens dans la chambre supposée être la mienne, il manque un pan de mur, ainsi que la moitié du sol. C'est comme si la pièce avait été touchée par une explosion, mais je n'ai rien vu ni entendu. Le lit est là, c'est le principal, je pourrai dormir. Le ciel est bleu, le soleil brille. Il n'y a rien à craindre.

Je suis très heureux du retour du soleil, et c'est probablement ce qui a influencé la géographie et l'atmosphère de ce rêve.
Les choses qui manquent dans mes affaires sont des objets que je vais possiblement acheter dans un avenir proche.
Encore une histoire de chambre. Dans la précédente, j'étais enfermé et je faisais tout pour en sortir. Dans celle-ci, c'est la chambre elle-même qui s'effondre pour me laisser voir le ciel et la lumière. Le monde s'ouvre de nouveau.

J'ai fait beaucoup d'autres rêves courts ces derniers jours, mais rien de très intéressant à noter, à part la réapparition d'un thème anciennement récurrent : une voiture que j'ai le plus grand mal à conduire parce que je la vois... de l'extérieur.

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