Riche nuit (21/05/2020)
Hier, en début de soirée, j'ai commencé une séance de yoga, avant de m'apercevoir que j'étais trop fatigué pour ça. J'ai ensuite enchaîné avec une méditation sur laquelle je me suis... endormi. Suite à cela, j'ai décidé de me coucher très tôt pour rattraper le sommeil en retard. J'ai attendu le sommeil alors qu'il faisait encore jour, et celui-ci est venu me cueillir lorsque les derniers rayons de soleil commençaient à décliner. Une nuit très, très riche en rêves s'en est suivie. Ils sont courts et je n'ai pas pu les noter tous, mais voici ceux que j'ai pris le temps d'écrire.
Vacances dans les Féroé
Je suis en vacances sur une île que je sais être une île des Féroé. Je suis à pied. La nature est sauvage et impitoyable, le temps devient menaçant, mais j'atteins un petit village situé dans une baie de l'île. Je vais me renseigner pour trouver une chambre dans une sorte de complexe touristique bâti en bois. D'une manière ou d'une autre, on me fait comprendre que presque tout est fermé. Seule une "Chambre sur la baie" et une "Chambre du Jardin d'hiver" sont disponibles, mais ils me disent que la première est très chère. Je consulte un plan de la ville pour voir où se trouve ledit Jardin d'hiver, et je constate qu'il s'agit d'un grand parc, délimité par une clôture et un portail de fer forgé, à l'orée de la forêt qui se trouve au sud-est du village. Je leur dis que la "Chambre du Jardin d'hiver" me conviendra parfaitement.
J'ai vu plusieurs images des Féroé récemment.
Anniversaire d'une vieille amie et jeu de rôle
Je suis à Mir., chez Ang., ma vieille amie de l'université. C'est son anniversaire. Elle-même est absente pour l'instant mais plusieurs de ses amis sont présents. Je discute avec eux. Ils en viennent rapidement à me parler de jeu de rôle. Ils me demandent si j'en ai déjà fait. Je souris et je leur dis de bien me regarder, avec mon look gothique et mes cheveux longs. Qu'est-ce qu'ils croient ?
Je suis invité à jouer. Il va falloir que je crée un personnage pour une partie de D&D. Putain, j'ai pas envie, finalement. Mais bon, je vais me forcer. Allons-y, faisons un personnage sacrifiable... Pffff pas enviiiie.....!
C'était l'anniversaire de cette amie récemment, mais je n'y ai pas pensé. Mon inconscient me l'a rappelé, je ne sais pourquoi. Quant au jeu de rôle, j'ai pensé en refaire avec plusieurs personnes de là où j'habite, mais l'envie me vient et me quitte sans trop me pousser à l'action.
Sorcier Blanc en cuir noir
Je suis chez mes grands-parents paternels, à G.. Je suis dans l'allée du jardin, avec plusieurs personnes inconnues, extérieures à ma famille, peut-être une quinzaine ou une vingtaine de personnes. Lorsque j'essaye de rassembler mes esprits pour comprendre ce qui se passe, je me "souviens" que c'est parce qu'il y a une apocalypse de zombies en cours. D'ailleurs, plusieurs silhouettes hagardes avancent dans les collines, en hauteur. Une femme vêtue de haillons avance également vers nous. Alors que je m'apprête à mettre en garde une personne vers qui celle-ci se dirige, je me rends compte qu'il s'agit juste d'une femme blessée, pas d'un zombie.
Il y a un homme vêtu de cuir noir parmi nous. Il me dit qu'il est sorcier, et qu'il sent quelque chose de terrible en moi, quelque chose qu'il voudrait exorciser. Je lui dis "non merci, ça va". Il se glisse derrière moi, m'immobilise alors en me saisissant par les épaules et il les tire en arrière, ce qui me fait mal au dos, mais aussi dans la poitrine. Quelque chose me quitte par le souffle. Il avait raison. Puis des visions m'assaillent : je vois flotter dans un éther multicolore à dominance pourpre une construction gigantesque faite de machines et... d'os. Il y a une sorte de squelette vivant, dont les orbites sont des pierres précieuses, intégré à un véhicule en lévitation, une sorte de char volant. Il agite en tous sens d'immenses bras mécaniques.
Je ne trouve rien de récent ayant pu m'inspirer ce rêve. La fin complètement différente et baroque me rappelle les rêves que je faisais avant, ceux qui me donnaient envie de les écrire.
Il y a un homme vêtu de cuir noir parmi nous. Il me dit qu'il est sorcier, et qu'il sent quelque chose de terrible en moi, quelque chose qu'il voudrait exorciser. Je lui dis "non merci, ça va". Il se glisse derrière moi, m'immobilise alors en me saisissant par les épaules et il les tire en arrière, ce qui me fait mal au dos, mais aussi dans la poitrine. Quelque chose me quitte par le souffle. Il avait raison. Puis des visions m'assaillent : je vois flotter dans un éther multicolore à dominance pourpre une construction gigantesque faite de machines et... d'os. Il y a une sorte de squelette vivant, dont les orbites sont des pierres précieuses, intégré à un véhicule en lévitation, une sorte de char volant. Il agite en tous sens d'immenses bras mécaniques.
Je ne trouve rien de récent ayant pu m'inspirer ce rêve. La fin complètement différente et baroque me rappelle les rêves que je faisais avant, ceux qui me donnaient envie de les écrire.
La tempête qui vient
Je suis couché sur un lit à l'extérieur, sur la terrasse couverte d'une grande maison de pierre qui semble être un mas provençal. Il fait doux et c'est agréable. Pourtant, je regarde le ciel et je vois massés, à des kilomètres au dessus de moi, des nuages d'un noir profond, un noir tel qu'il n'en existe pas sur Terre, sauf peut-être durant les grandes catastrophes, les guerres, les incendies ou les éruptions volcaniques... Les nuages décrivent une spirale ascendante vers le ciel, mais au centre de la spirale, il y a un petit espace, une sorte d’ "œil du cyclone", où il est possible de voir le ciel bleu. C'est un ciel apocalyptique, mais... il ne m'inquiète pas outre-mesure.
Je me réveille dans le même décor, mais mon esprit s'envole et m'emmène sous la neige cette fois. Je suis situé au dessus d'une route qui serpente dans des collines enneigées. Une voiture de police arrive au niveau d'une file de véhicules arrêtés et couverts de neige puis fait demi-tour. À la tête de la colonne de véhicules sous la neige, je reconnais ma voiture. Je vole vers celle-ci, y entre et la démarre. Je débloque la file de voitures et certaines se remettent à avancer.
Je suis maintenant de retour dans ma ville natale, toujours en voiture. J'essaye d'atteindre la maison de ma mère, mais il y a d'épaisses barricades sur la route, faites de métal, de véhicules et de toutes sortes de détritus, et qui m'empêchent d'emprunter le chemin habituel. Je sors de la voiture, puis je me dis "tant pis, j'irai ailleurs".
Celui-ci était plutôt clair et naïf, symboliquement parlant.
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